[Salle de bain] Perdez pas le shampoing, on pourrait en avoir besoin !

Anonymous
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Dim 16 Mar - 19:07
(ce n'est qu'un passage introspectif, lisez directement le résumé \o\)

Description du lieu (écrite par Liam) a écrit:
C’était une salle de bain.
Entièrement carrelée, de bas en haut. Du carrelage étonnamment blanc. Mais pas vraiment carré (il ne fallait visiblement pas trop en demander). Des baignoires et des pommeaux de douches étaient plantés un peu partout, comme si tout ça n’était que le potager d’un être sous LSD. Au sol, sur les murs, au plafond. Parfois à l’endroit, parfois à l’envers, parfois juste un morceau. Il y avait aussi quelques containers douteux. Des rustiques tonneaux aux grands bacs carrés et... bouteilles d’eau géante. Non. Il ne voulait même pas savoir.
L’eau craignait aussi.

Tout sauf juste transparente, certaines baignoires faisaient gloulou, pétillaient ou laissaient échapper une fumée qui n’augurait rien de bon.
Et Liam ne voulait même pas parler des pommeaux de douches solitaires, qui jalonnaient le plafond.





Il ouvrit brusquement les yeux.

Première remarque, et pas des moindres : il n'était pas mort. Il se sentait même affreusement bien. Ou aussi bien que l'on pouvait l'être avec une seule oreille et un bras légèrement envahissant. Comment en était-il arrivé là ? Quand bien même les souvenirs étaient particulièrement clairs et distincts, baigner dans une odeur de mandarine et être en pleine forme, ça lui donnait envie de penser que tout n'avait été qu'un doux rêve. Qu'il ne s'était jamais rien passé, et qu'il avait toujours été là, sous cette servi…

Deuxième remarque. Une serviette ?!! Après avoir croisé l'autre type méchant, et avoir échangé un coup ou deux, il n'était sûrement pas allé se faire une petite beauté, et encore moins prendre la peine de trouver une serviette (verte, en plus, erk, il préférait le jaune) Nulle doute que le type méchant en question n'avait pas eu pitié de son geste. S'il était venu, il aurait simplement piétiné son ennemi - il était sûrement mesquin au point de planter ses griffes dans les gens en plein sommeil, juste histoire de les embêter.

Et, pensa-t-il tandis qu'il se relevait pour mesurer l'ampleur de la catatrophe, bon nombre de ses connaissances l'auraient regardé crever en mangeant des chips. Même le prétendu super-héros, surtout s'il avait compris que la position de l'étoile de mer était une création originale. Boarf, il devait être en train de faire du bouche à bouche à l'algue, ou de l'enterrer. Non, malheureusement, elle devait être toujours en vie. Ou heureusement, car il avait pas pensé à la questionner sur Max.

Or, Max était la seule chose qui comptait. Il n'était pas du genre à réfléchir trop longtemps, et fit donc le tour de la pièce en oubliant son bienfaiteur anonyme. Il ne voulait pas chercher à imaginer les scénarios possibles ou à monter un portrait robot de l'inconnu, car il avait cru comprendre que fuir la réalité ne conduisait que de la retrouver encore plus douloureusement. Max était là, quelque part, peut-être ici, peut-être à l'agonie quelque part dans le monde, il ne pouvait qu'avancer en espérant que sa route veuille bien croiser la sienne. Ambros avait envie de penser que son ami aurait de toute façon survécu, mais hélas le coco n'était pas ce qu'il y avait de plus manuel, il fallait l'avouer, et sa peinture ne le sauverait pas toujours des sacs à main géants.

Tandis qu'il essayait - quand même - de s'énumérer les innombrables qualités de Max en marchant, il tomba sur un trou et se félicita de ne pas être tombé dedans directement, pour une fois ! Il ne questionna pas la logique du lieu - il avait vu pire qu'un grand trou dans une baignoire dans sa piètre existence, hélas - et se demanda plutôt si Max ne pouvait pas être là. Williams était là tout à l'heure, il avait pu vilement le jeter à l'intérieur et garder l'entrée pour ne pas qu'on vienne le sauver. Pour vérifier sans sauter (il n'avait pas envie de se blesser autre part, c'était pas le moment), pas trente-six solutions.
Il attrapa quelques produits qui traînaient à l'intérieur d'un tonneau et se prépara à les jeter dans l'ouverture pour voir si quelqu'un se plaignait, quand quelque chose attira son attention.

Ce bruit, dehors, c'était pas normal. Pas normal du tout. Une explosion avait secoué le bâtiment,  ou quelqu'un avait donné un gros coup de pied dedans. Dans tous les cas, c'était mauvais. La première fois, lorsque la place avait tremblé, et qu'il avait fallu arpenter les tunnels, il avait dévié le regard. Aujourd'hui, tout cela était impossible. S'il n'y avait pas cet endroit, s'il devait être détruit, il faudrait à nouveau courir. Courir encore et toujours, et courir jusqu'à la mort aussi. Il savait qu'il se ferait tuer bêtement avant d'avoir pu trouver la moindre piste, si cette situation se concrétisait.

Bref, Ambros comprit qu'il avait intérêt à faire ce pour quoi il était le plus doué.
Quel que soit la chose dehors, il foncerait dans le tas sans réfléchir.


Résumé:
Anonymous
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Jeu 22 Mai - 19:06
▬ Vous savez, je suis un peu bizarre…

Il avait bien fallu meubler, pendant le trajet. Entre les différents bégaiements et hésitations de l’étrange guide, ses quelques collisions avec des murs un peu fougueux, et autres trébuchements inopinés.

Mais surtout, Diablo en avait eu envie. Il avait déjà commencé. C’était comme s’il ne pouvait plus s’arrêter. Il fallait qu’il continue. Qu’il raconte tout à Kahaüz. Des choses sur lesquelles il n’avait jamais vraiment mis de mots. Ou plutôt, il n’avait jamais pris la peine de le faire. C’était comme ça, voilà tout. Il n’y pouvait rien. Si les gens finissaient par le voir, eh bien, ils partaient… C’était comme ça. C’était toujours un peu douloureux. Mais au fond, il avait l’habitude. Alors il se détournait juste aussi, et il trouvait une nouvelle personne pour remplir le vide de son cœur.

Mais là, il ne voulait pas. Il voulait parler. Il voulait s’en excuser.
Il voulait que Kahaüz sache.

▬ Parfois… Souvent, suivant le moment. Je… deviens vraiment… gênant ?

Et comme ça, peut-être… peut-être qu’il ne partirait pas lui aussi.
Mais c’était difficile. De mettre des mots sur son état. Alors que sa propre personnalité s’altérait.

▬ Je n’étais pas comme ça, avant. C’est juste depuis… ici.

Ici. Un mot qui signifiait tellement, pour tous les gens présents. Un mot qu’on avait pas besoin d’expliciter. Il y avait le « avant », et il y avait le « ici ».

▬ Si cela arrive je… je suis vraiment désolé.

Et, maladroitement, timidement, pendant tout le trajet, Diablo parla. Tenta d’expliquer. Tenant la conversation pour deux. Se libérant d’un poids dont il n’avait même pas conscience. S’enfonçant encore plus dans un marécage qu’il ne voyait même pas. Mais qui finirait probablement par l’engloutir tout entier.

Puis, enfin, ils firent face à la fameuse baignoire.
Comme si on avait rembobiné une quelconque cassette, la queue de diablotin se manifesta de nouveau, tâtant prudemment le bord de porcelaine. Diablo la sentit, et se crispa.

▬ Ha, et j’ai ça… aussi.

Très rapidement, il enleva son bonnet, montrant ses cornes d’un doigt, avant de le renfoncer aussi sec. Il se sentait bien mieux avec. Presque comme s’il était normal. Malgré la peau grise et les ongles jaunes. C’était probablement ridicule. Il le savait. Mais ça le soulageait. Un peu.

▬ Et des griffes. Aux mains et aux pieds. Mais ça casse, comme de vrais ongles, c’est juste… un peu plus pointu.

Comme ses oreilles. Comme le bout de ses dents, un peu. Le petit Diablo n’avait décidément plus grand-chose d’humain. Même ses yeux…

▬ Bref je. Voilà, c’est ça.

Et il désigna la baignoire, vite, pour ne plus trop avoir à penser.
C’était déjà bien assez douloureux.

Spoiler:
Anonymous
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Jeu 22 Mai - 20:25
« Vous savez, je suis un peu bizarre… »

L’homme pensait que Diablo avait déjà vidé tout son sac. Mais visiblement non. Lui qui pensait pouvoir faire le chemin jusqu’à la salle de bain en silence, c’était raté. Son compagnon avait définitivement décidé de tout lui dire. Certes, il n’écoutait que d’une oreille mais il savait que plus il parlait, plus il s’appuyait sur lui.

« Parfois… Souvent, suivant le moment. Je… deviens vraiment… gênant ? Je n’étais pas comme ça, avant. C’est juste depuis… ici. Si cela arrive je… je suis vraiment désolé. »

Depuis qu’il est arrivé dans ce monde, supposa-t-il. Ces mots lui faisaient penser au fait d’avoir une sorte d’autre personnalité, s’excuser avant que la chose arrive, l’homme l’avait déjà fait plusieurs fois devant elle. A chaque fois qu’il rentrait chez eux avec du sang sur les mains, il lui disait qu’il pouvait devenir fou à tout moment et s’en excusait par avance. Comme si ça allait changer quoi que se soit.

L’homme eu un sourire ironique. Elle lui disait que ce n’était pas grave, qu’elle l’aimait quand même. La bonne blague. Ses yeux effrayés ce jour-là montraient tout sauf de l’amour pour la bête assoiffée de sang qu’il était.

Lorsqu’ils arrivèrent dans la salle de bain, l’homme arborait encore une expression ironique. Ce gamin avait de don de lui faire se souvenir de ce jour-là. Il pouvait remercier son MP3 de l’empêcher de péter un plomb. Ou. Non. Il n’avait juste pas envie de s’emporter.

Et un bruit étrange transforma son expression en légère surprise. Une queue de diablotin tâtait la baignoire dans lequel était le trou. Il fixa la chose et remonta jusqu’à son propriétaire.

« Ha, et j’ai ça… aussi »

Enlevant son bonnet une fraction de seconde, l’homme vit ce qu’il avait senti lorsqu’il avait posé sa main sur la tête du garçon. Il n’eût même pas le temps de réagir que Diablo continuait à énumérer les choses étranges de son corps. Mais excepté de la surprise, l’homme n’avait aucun avis là-dessus. Lorsqu’il prenait en considération que des objets vivants voulaient leur peau, qu’il y avait un salon-piscine et que le ciel était rose, il se disait que ça pouvait paraître logique qu’il y ait des changements chez les humains aussi.

Finalement, lui qui n’a rien eu du tout de ce genre, pouvait s’estimer heureux. D’un sens, il l’était déjà, fou.

« Dans le même registre, évite de me montrer du sang. C’est dangereux. »

L’homme ne voulait pas le paniquer en disant qu’il tuerait tout ce qui pourrait potentiellement avoir du sang. Parce que s’il panique, ça va l’ennuyer encore plus. Cela lui rappellera cette expression qu’elle a eut.

« Bref je. Voilà, c’est ça. »

Il était déjà prêt à sauter. Il voulait venir ? D’un sens, il pouvait être utile là-dessous, il y est déjà allé, il connaîtra le chemin même à l’intérieur. Il est encore faible. L’homme souffla, il s’apprête à faire quelque chose qu’il ne ferait pas normalement. Juste, là, il ne fallait pas que le garçon se blesse en faisant une mauvaise chute. Une fois en bas, il n’est pas dit qu’ils trouveront le moyen de soigner, alors qu’ici, c’était encore possible.

Il prit les bras de Diablo qu’il glissa derrière son dos en lui marmonnant de s’accrocher le plus fort possible. Entraînant donc le jeune, l’homme sauta en plaçant une main derrière la tête du garçon et l’autre dans le dos, faisant en sorte que lorsqu’ils atterriront, se soit l’homme en dessous.

Résumé:
Anonymous
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Ven 23 Mai - 0:58
▬ Dans le même registre, évite de me montrer du sang. C’est dangereux.

Diablo fut secoué d’un rire un peu nerveux.

▬ Hahaha. Je vais essayer.

Lui-même n’aimait pas trop ça. Peu de monde aimait, ceci dit. Mais hélas, il était pas vraiment du genre habile. Même avant. Surtout avant, d’ailleurs. Ici, dieu merci, il semblait un peu moins maladroit. Ou il encaissait mieux les chocs. Bon, il était pas spécialement un noble héros musclé mais, l’air de rien, il était encore debout. Dans un état plus ou moins pitoyable, mais debout. À peu près. Il tanguait juste un peu.

Quoi qu’il en soit : il était prêt. Prêt à sauter. Cette fois, il ne…

The hell ?!

Mains. Bras. Corps. Et voilà que Kahaüz l’entraine à sa suite dans le noir.

L’espace de très courtes secondes, avant qu’un petit couinement mi-effrayé mi-surpris ne surgisse de ses lèvres, Diablo pensa qu’il avait peut-être une tête qui disait « Balancez-moi dans un trou, c’est rigolo ».

Spoiler:
Anonymous
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Sam 24 Mai - 18:07
« On y va ? demanda-t-il. Je ne sais pas où se trouve la salle de bain, j'aurais besoin que vous m'accompagniez. »

Tu vas vraiment retourner là bas ? Vraiment ? Alors que tu trouvais cet endroit tellement angoissant ? Remarque, c’est tellement plus rassurant que la bataille qui se passe juste au dessus de vos têtes.

« Si vous y tenez… »

Alors tu t’avanças vers la porte et avant de peiner à l’ouvrir comme une cruche, tu te retournas sur lui.

« Je m’appelle Cydna, et vous êtes ? »

Finalement, la porte céda laissant entrevoir un couloir tout à fait lambda, que tu entrepris d’arpenter, surement suivie du jeune homme. Tu ne te retourneras qu’une seule fois pour vérifier qu’il soit bien là.  

Vous arrivez enfin à destination, vous laissant entrevoir deux hommes enlacés sauter dans la baignoire. L’un d’eux était Diablo, tu l’as reconnu, tu ne voulais juste pas y faire attention. Tu ne voulais pas voir non plus qui t’a remplacé. Un homme. Grand. L’exact opposé de toi en fait. Une fois certaine que tu ne les verrais pas de plus près, tu t’avanças dans la salle, prudemment.

« Voilà, c’est ça, le passage. On se glisse dedans et on tombe de plusieurs mètres »

Et puis un truc glissa de ta poche. Un machin rose qui fit un déplorable « paf ». Tu te penchas pour le ramasser.

« Ah. Oui. Ce truc, c’est ça qui a ouvert le passage. Plus exactement, c’est lorsque Diablo en a mangé un comme ça que la baignoire s’est ouverte. Je n’ai pas spécialement envie de croiser ceux qui viennent de descendre… Et pour de nouvelles découvertes, n’est-ce pas mieux de prendre un autre chemin ? »

Silence

« Enfin, je ne sais pas où il y en aurait un autre… »

Résumé:


Dernière édition par Cydna du Lac le Sam 4 Avr - 20:57, édité 1 fois
Anonymous
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Dim 25 Mai - 14:51
«Al… »

Comme à son habitude, il n'avait pas précisé son nom de famille - il ne donnait toujours que l'un ou l'autre et se voyait mal être appelé formellement par une jeune de son âge. Afin de ne pas perdre son temps et sa salive, il avait tout simplement suivi cette dernière au milieu des corridors. Combien y avait-il de pièces dans cette base militaire ? Il avait la furieuse envie de compter, mais s'il y avait effectivement des pièces "cachées" comme cette salle aux écrans, il ne pourrait sans doute pas le savoir avant un petit bout de temps.
À plusieurs reprises, il avait cru entendre du bruit, mais étrangement rien n'était venu les déranger.

Lorsqu'enfin les deux dessinateurs se retrouvèrent en présence de la fameuse salle de bain, deux personnes étaient déjà présentes et Cydna ne sembla pas vouloir aller les déranger dans leur étrange posture.. Diablo et le type du portail au MP3 étaient serrés l'un contre l'autre ; Al eut tout juste le temps de les voir sauter dans une baignoire et disparaît.
Sa première réaction ne fut pas «Oh, chouette, Diablo va mieux !» ou «Ce passage n'était donc pas une fable, génial !», mais bel et bien un «Merde, ils nous ont doublé…» amer. S'il voulait explorer ces fameux dédales souterrains, ce n'était pas pour marcher dans les pas de ses deux connaissances, mais bel et bien dans l'espoir de faire une découverte scientifique d'envergure.

« Voilà, c’est ça, le passage. On se glisse dedans et on tombe de plusieurs mètres » précisa Cydna tout en s'avançant dans la pièce.
Sans doute pour calculer le diamètre de l'ouverture, Al s'avança vers la baignoire qui avait vu disparaître les deux hommes. S'il le voulait, il pouvait sauter dès maintenant et partir à l'aventure. Il suffisait d'enjamber la baignoire et de se laisser tomber...

« On risque de casser les bocaux. » se murmura-t-il tout en essayant de discerner quelque chose en-dessous.

Hélas, il n'eut pas le temps de partager cette réflexion philosophique à sa camarade ; un léger bruit, comme une feuille tombée sur le sol, venait de résonner. Il n'avait pas l'esprit tranquille avec cette histoire d'objets et se retourna subitement pour faire face à un éventuel ennemi.

Et pour une fois, il s'agissait d'une simple plante. (rose à treize feuilles, certes) Il se sentit relativement ridicule.

« Ah. Oui. Ce truc, expliqua Cydna, c’est ça qui a ouvert le passage. Plus exactement, c’est lorsque Diablo en a mangé un comme ça que la baignoire s’est ouverte. Je n’ai pas spécialement envie de croiser ceux qui viennent de descendre… Et pour de nouvelles découvertes, n’est-ce pas mieux de prendre un autre chemin ?  Enfin, je ne sais pas où il y en aurait un autre… »

Manger un trèfle pour ouvrir des passages secrets ? Il avait certes graduellement abaissé son niveau de raison depuis son arrivée, mais pas au point d'accomplir des actes aussi insensés ! Voulait-elle le ridiculiser ? L'empoisonner ?
Et pourtant, il y a bien des cornichons qui volent, ne put-il s'empêcher de se préciser mentalement. Si quelqu'un les observait réellement, le trèfle pouvait tout à fait constituer une sorte de patte blanche. Il avait également la preuve que ce n'était pas toxique sur la santé, puisque Diablo avait survécu, quoi que l'on ne connaisse pas les effets sur le long terme.

« Je suis d'accord. Si la salle d'en-dessous et la salle aux écrans étaient vides lorsque vous êtes passés, cela signifie qu'il existe d'autres salles et sans doute d'autres entrées. Cydna, on doit débusquer ces mecs planqués avant eux ! »

Il jeta un dernier regard dédaigneux à la baignoire. Au vu de la taille de la Base, nulle doute que l'étage souterrain était vaste. S'ils s'y prenaient bien et vite, ils pouvaient encore réussir.

« Il faut qu'on fouille toutes les pièces du rez-de-chaussée jusqu'à trouver une pièce susceptible de contenir un passage. C'est toujours mieux si on peut les trouver à la main - il doit y avoir des trappes ou des mécanismes, mais en dernier recours… - il désigna le trèfle du doigt - on tire à la courte paille ? »

Bouillant de motivation au point de ne pouvoir éviter que par réflexe la chute de B, il entraîna Cydna à l'extérieur de la pièce sans lui laisser le choix. Elle était devenue son commis de cuisine, il ne lui demandait rien d'autre que de participer à cette course contre la montre.
Même pas pourquoi elle ne voulait pas croiser Diablo.




Résumé a écrit:
Al suit Cydna jusqu'à la salle de bain. Quand Kah et Diablo ont sauté, il s'approche de la baignoire pour voir le passage, mais il est d'accord avec Cydna quand elle dit qu'il vaudrait mieux chercher une entrée ailleurs. Il la traîne à l'extérieur sans lui demander son avis.


LA SALLE DE BAIN EST VIDE.
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